Hilight Tribe, le groupe légendaire de la Natural Trance

Ludo et Greg, membres du groupe Hilight Tribe

Ludo et Greg, membres du groupe Hilight Tribe

ÀƒÂ€ l'occasion du concert évenement à l'Olympia de Paris pour fêter les 10 ans de Vini Vici, Greg et Ludo membres du groupe Hilight Tribe, ont échangé avec nous pour une interview .

 

Pour commencer, pouvez-vous vous présenter pour ceux qui ne vous connaissent pas ?

 

        Salut nous c'est Greg et Ludo et on fait partie du groupe Hilight Tribe. On fait de la Natural Trance, c'est comme de la musique Techno ou Trance, mais 100 % Organique. Cela veut dire qu'on utilise que des instruments pour produire notre musique comme la guitare, la basse, la batterie, le didgeridoo, le sitar, la percussion... Des instruments joués en live sans ordinateurs, sans samplers.

Laurent (Roots), Richard, Sébastien, Greg, Ludo, Mathias - Hilight Tribe

Vous avez choisi de vous tourner vers la Natural Trance, est-ce que vous pouvez nous expliquer ce qui la différencie de la Trance, Psy/Trance ?

 

        Si tu écoutes nos tracks attentivement, tu verras que la structure est différente de la Techno, de la Trance même de la House. Ce ne sont pas les mêmes structures, les mêmes séquences même si on a été inspiré par leur façon de faire. Dès qu'on est partis, il y a le batteur qui démarre, Greg qui prend la guitare et puis on se met à chanter. On a quand même cette formation de groupe et la forme de la Natural Trance est différente de l'électro même si elle est jouée par des musiciens qui adorent la musique électro.

Hilight Tribe

        Ce que veut dire Ludo là-dessus, c'est que les chansons Psy,  Trance, Techno elles ont une forme oÀƒÂ¹ il n'y a pas forcément un refrain, un chorus, un couplet, etc... .Nous la construction de nos morceaux va être plus proche de la chanson avec des couplets et des refrains. Il n'y as pas vraiment de barrières ou de modèles que l'on copie à chaque fois car on s'adapte à chaque morceau mais c'est vrai que c'est davantage tourné sur une structure comme une chanson plutôt qu'une track de musique électronique oÀƒÂ¹ la il y a un côté plus abstrait.

        Ensuite pourquoi on s'est tourné vers ce style de musique ? C'est tout simplement que nous sommes des instrumentistes à l'origine et on a voulu choisir une vision oÀƒÂ¹ on garde nos instruments en live tout en faisant danser les gens de la même manière et leur faire atteindre surtout ce feeling, cette extase que tu peux ressentir quand tu danses sur de la musique psychédélique/électronique mais avec des instruments.

Vous utilisez énormément d'instruments lors de vos lives, est-ce que vous pouvez nous présenter les instruments incontournables de la Natural Trance ?

 

        Alors il y a le Didgeridoo ! Greg qui en joue depuis les premiers morceaux comme " Greg Didge " et d'album en album on continue à le faire perdurer. Alors évidemment il y a la percussion aussi oÀƒÂ¹ Ludo joue non seulement du djembé africain mais aussi du bougarabou, de la darbouka et Roots lui joue des congas qui sont des percussions un peu plus latine.

 

        Il faut savoir que dans notre structure de Natural Trance, les instruments qui faisaient à l'époque de la rythmique font davantage du solo aujourd'hui et les instruments qui faisaient du solo comme la guitare font plus de la rythmique de nos jours. C'est un changement plutôt intéressant. Tu as par exemple dans nos morceaux une base de batterie avec une guitare basse pour faire le fameux À¢Â€Âœkick bassÀ¢Â€Â sur lequel tu vas danser.  Ça tabasse ! Donc ça c'est un incontournable sur chaque morceau et après on va chercher pour chaque chanson une nouvelle influence, un nouveau pays et de nouvelles cultures dans le monde entier. Comme disait Ludo, il y aura une track oÀƒÂ¹ il va y avoir du didgeridoo et oÀƒÂ¹ tu vas faire un voyage en Australie, une autre track avec du sitar et des tapla pour aller en Inde, une autre avec du N'goni et de la Kora pour ce qui est de l'Afrique, un morceau avec des percussions pour te sentir à Cuba, À¢Â€Â¦

        On aime changer de culture et voyager à travers le monde donc forcément on va s'amuser avec la trompe tibétaine pour faire le morceau "Free Tibet" que vous connaissez et les tambours amérindiens avec les chants tribals oÀƒÂ¹ on produira une autre track incontournable comme "Great spirit". Pour notre cas les instruments sont très variés et c'est ce qui fait la richesse de notre musique.

 

Justement il y a 7 ans, Vini Vici sortait un remix de votre track "Free Tibet" puis un an après, c'est "Great spirit" que vous sortez en collaboration avec Armin Van Buuren et Vini Vici. Ce sont aujourd'hui des tracks iconiques qui tournent encore en boucle. Comment en êtes-vous arrivés à travailler avec ces 2 artistes majeurs de la Trance et Psytrance actuelle ?

 

        Greg est venu me voir un jour et il m'a dit : "Ca fait pas mal de fois qu'on nous propose de faire des remix de Free Tibet mais ça ne me parle pas,  je vois ce que font les DJ mais j'ai du mal a me projeter et de voir ce qu'il vont faire avec notre track mais là attention il y a des petits jeunes qui viennent de nous envoyer leurs track The tribe. Ecoute ça tu va sÀƒÂ»rement kiffer et je pense que eux ils sont capables de faire un remix de À¢Â€ÂœFree TibetÀ¢Â€Â. J'ai pris le temps d'écouter et je lui dit mortel ! tu as raison Greg ! Greg était en contact avec Aviram et Matan (Vini Vici) et là on s'est dit qu'on était prêt à faire le remix "Free Tibet" avec eux. 

        Avec le son, le style, la direction et la vision dans leur morceau "The tribe",  j'ai vu qu'on pouvait vraiment faire quelque chose, car il faut respecter la track originale et il y a vraiment beaucoup de DJ qui vont faire des remix, mais qui ne vont prendre que 10 % de cette chanson. Nous sommes très attachés dans nos morceaux comme je disais juste avant et notament sur la structure, les couplets, les voix, la guitare, la trompe tibétaine ; on ne veut pas qu'ils prennent la track et qu'ils n'utilisent que 2 % de la chanson et dire que c'est un remix.

        Je suis désolé de le dire, mais il fallait quelqu'un à la hauteur de ce morceau qui a marqué plusieurs générations. On a commencé une collaboration, oÀƒÂ¹ ils travaillaient sur une partie de la track dans leur studio en IsraÀƒÂ«l et au Brésil et ils nous l'envoyaient après. On leur renvoyait comme une partie de tennis. Ce travail sur "Free Tibet", s'est déroulé dans de bonnes conditions. Au fur et à mesure qu'ils avancaient, Ludo a dit non, il faut remettre la guitare, etcÀ¢Â€Â¦ Donc il y a eu ce remix de " Free Tibet " à la fin de nombreuses heures de travail et qu'on a tous trouvé excellent. Ca a fait un super carton !

        Ce remix leur a permit de rentrer par la grande porte dans l'EDM et notamment à Tommorowland et tout ce qui s'en suit. Ils ont dÀƒÂ» rencontrer Armin van Buuren je ne sais pas quand, puis Armin à décider d'utiliser le morceau " Free Tibet Remix" pour la mettre dans sa Radio Channel. Suite à ça Aviram m'a proposé de faire une track en collaboration avec Armin van Buuren. On lui propose donc une collaboration et Matan avait eu une idée, il avait déjà entendu nos tracks au style amérindien, ça sera bien d'aller vers cet air. Armin avait l'air assez chaud et comme il a beaucoup aimé le "Free Tibet Remix", il me dit viens, on attend de voir ce qui se passe. 

        Greg me dit qu'il est vachement inspiré par ce truc en mi, il se met à chanter un air qui sonne " Nanana Nim Nana bam bam di bam bam bam " et puis à la fin À¢Â€ÂœHeyyy... ayy... hee... oohÀ¢Â€Â. Il recommence et je lui dit qu'il est vraiment chouette son chant mais qu'il y a quelque chose qui me titille. La semaine d'après il me dit ce qu'il veut faire : je veux chanter en ternaire, des paroles Lakota, chanter puissamment comme si c'était un monstre. J'étais un peu dubitatif et il me dit qu'il est sÀƒÂ»r et certain. Je me suis dit, c'est compliqué, mais je le sens confiant. Je l'encourage, je ne sais pas ce que ça va être mais je lui donne carte blanche. Il revient la semaine d'après en me disant qu'il a trouvé ! Il se met à chanter "Wakan Tanka, Hunkaschila , Wohitika Oyate, Nagi Tanka, Tunkasila, Akicita, Oyate " et à la fin, il fait " HeyÀ¢Â€Â¦heyÀ¢Â€Â¦heyÀ¢Â€Â¦ heyyy... ayy... hee... ayyÀ¢Â€Â¦ heeÀ¢Â€Â¦aooh", il avait juste gardé le dernier chant de ces longues liturgies et là je comprend ce qui l'embêtais. Il a enlevé toute la séquence pour ne garder que le chant au point culminant et qui est resté aujourd'hui le moment populaire de cette track. J'ai trouvé que ce sont 2 étapes vachement intéressantes donc on a vachement travaillé dessus. 

        On envoie ces paroles à Vini Vici et là Matan nous dit : À¢Â€Âœj'entends beaucoup un chant un peu mélodique À¢Â€Âœ aa Haa-aAAaa aa aa aaaÀ¢Â€ÂÀ¢Â€Â oÀƒÂ¹ il nous invite à faire ça. On lui a trouvé ce genre de mélodie, ce genre de chant qui nous a pris la nuit et on lui renvoie tout ça. Matan nous répond et nous dit qu'il n'est pas du tout sÀƒÂ»r des paroles " Wakan Tanka, Hunkaschila, Wohitika Oyate, Nagi Tanka, Tunkasila" et À¢Â€Âœ Heyyy... ayy... hee... ooh! À¢Â€Âœ Il nous a même proposé de les enlever en nous disant : À¢Â€Âenlève tout et on refait quelques chose de différent avec des chants MongoleÀ¢Â€Â. Nous on s'est dit que non ce n'est pas possible et donc on lui répond en lui disant qu'on sais que ça allait faire un carton et si il veut retirer ça on arrête cette collaboration car cela ne sert donc à rien. Il finit par accepter les paoles et il envoie la track a Armin van Buuren qui a complètement flashé dessus. Aujourd'hui ce sont 148 millions d'écoutes et cette collab nous a appris plusieurs choses comme s'écouter soit-même des fois et non les autres.

En mars dernier, vous avez sorti votre nouvel album intitulé " Luminessence ", 7 ans après votre dernier album " Temple of light". Pouvez-vous nous parler de cet album ?

        "Luminessence Volume 1 ", c'est le premier volet d'une aventure tout autour du monde. Là, vous allez découvrir nos influences africaines avec À¢Â€Âœ Africa FolikaÀ¢Â€Â, de la musique psychédélique avec " Parallel Universes", des chants Mongole avec " Shaman" et Greg joue un morceau qui nous a tous inspiré qui s'appelle " Heart " oÀƒÂ¹ il y a la voix de Martin Luther-King. C'est une image acoustique ce morceau, tu voyages. On a vraiment voulu faire cette première initiation et puis bientôt " Luminessence Volume 2". 

        C'est un album qu'on a voulu faire en 2 partie, ça a été une grosse remise en question car il y a beaucoup de gens qui venaient toujours voir Hilight Tribe en concert mais entendaient toujours les mêmes chansons ou les même instruments. C'est vrai que quand tu joues des instruments ce n'est pas la même chose que quand tu changes un preset sur un synthé. C'est très difficile de transformer une guitare. Un coup je fais de la guitare électrique, une autre fois de la guitare classique. Quand les fans ont entendu À¢Â€Âœ EsperanzaÀ¢Â€Â, ils ne se rendent pas compte de la diversité des instruments qu'on a sorti. Ils nous disent que c'est tout le temps pareil : c'est soit le Didgeridoo, soit la percu, soit la guitare, soit le sitar donc il a carrément fallu chercher plus loin pour aller chercher des nouveaux thèmes, des nouvelles inspirations et sortir de la zone de confort. Sur tout cet album, on est partie rechercher des instruments complètement nouveaux, il a fallu aussi les apprendre ou réapprendre, ça a pris beaucoup de temps et entre "Luminessence Volume 1 " et " Luminessence Volume 2 " on va vraiment explorer des nouveaux univers.

        J'ai vraiment bien aimé aussi ce qu'as dit Greg dans le film qui vient de sortir et qui s'appelle " Hilight Tribe - Live in Ozora" que je vous incite d'ailleurs à voir et qui parle de notre aventure dans À¢Â€ÂœLuminessence À¢Â€Â. Greg disaist À¢Â€ÂœNous même on voulait être éblouis par ces nouveaux changements et changer çaÀ¢Â€Â. Cuba est venu a nous pour apprendre à jouer du güiro de joba et on a essayé pour le meilleur ou pour le pire de présenter des chansons du monde entier . 

Ce soir, vous allez jouer pour la première fois l'Olympia, la salle la plus mythique de France. Comment abordez-vous cette date si spéciale qui fête au passage les 10 ans de Vini Vici ?

 

        Je me suis mis en tête de kiffer toute la journée, d"essayer de profiter et puis c'est un moment très sympa et Vini Vici ont ramené plein d'artistes. Cette présence est très intéressante et la rencontre de nos deux groupes ont toujours fait de bonnes étincelles voilà pourquoi nous somme ici.

 

Vous avez déjà voyagé dans le monde entier, sortis de nombreux albums et travaillé avec les artistes les plus reconnus. Est-ce qu'il vous reste encore des projets à réaliser et des objectifs à atteindre ?

 

        Complètement, il nous reste plein d'objectifs à atteindre. On veut surtout continuer ce voyage autour du monde, avec la musique, aller plus loin pour rencontrer des artistes de ces différentes cultures, refabriquer nos chansons pour organiser des concerts, aller plus loin dans la culture du monde pour organiser un grand voyage initiatique et en fait ce n'est que le début. Il nous a fallut toute cette expérience de plus de 1000 concerts à notre actif et tout ces album pour être mÀƒÂ»r et pour pouvoir commencer ce voyage initiatique autour du monde oÀƒÂ¹ il faut aller dans ces cultures et dans la recherche de ces cultures. 

        Aujourd'hui c'est tellement riche la musique du monde, ça a tellement été oublié que quand tu vois le succès de À¢Â€ÂœGreat SpiritÀ¢Â€Â ou À¢Â€ÂœFree TibetÀ¢Â€Â et que quand tu as quelques chose de fort culturellement cela représente quelques chose pour nous. Ca nous parle quand il y a une chanson comme ça qui arrive dans un festival tel que le Tommorowland. Il y a la forme, la production et ensuite il y a le message, le contenu et l'initation. Ludo a vécu quelque chose qui le marquera à vie et qui est en quelque sorte notre essence : À¢Â€ÂœJ'étais dans la jungle, ils m'ont attrapé, ils m'ont initié, je ne voulais pas et j'y ai résisté en vain [rires]À¢Â€Â . On compte faire des émissions musicales un peu partout dans le monde avec plus de rencontres avec les différents peuples et ce n'est que le début.

Hilight Tribe - Boom Festival 2023

Avez-vous une anecdote à nous raconter qui vous est arrivée sur une de vos dates ?

 

        Nous en 1996, on croyait qu'on était prêt à monter pour la première fois sur scène. On avait toutes les guitares, didgeridoo oÀƒÂ¹ on chantais du folk aux influence Ethno, mais petit problème ce n'est pas de la Natural Trance à l'époque. On était très jeune alors on nous a proposé de faire un concert exclusif sans DJ dans un endroit oÀƒÂ¹ d'habitude il y a des grosses teufs avec des grands DJ en haut de la montagne dans les ÀƒÂ®les baléares. On a dit que c'était très bien, qu'on n'avait pas besoin de DJ et qu'on allait jouer toute la nuit. Alors on joue notre première demie-heure puis il y a déjà quelqu'un qui commence à se plaindre ensuite une deuxième, etc.. au bout de 45 minutes, ils commencent à paniquer et au bout d'une heure, notre producteur arrive pour baisser les faders de la table de mix et il nous dit À¢Â€Âœvous n'êtes pas prêt !À¢Â€Â. Il remonte les faders du DJ qui a mis une chanson a l'arrache parce qu'en fait on n'était pas prêt du tout et on as prit une grosse claque ce soir là. On s'était vraiment organisé comme des oufs ça a été un changement radical, mais après ça on a fait Hilight Tribe pour revenir sur scène avec la batterie, la basse et puis le groupe que vous connaissez aujourd'hui.

Hilight Tribe - ERVA Festival 2023

        C'est que la natural Trance est un nouveau style de musique, je parle bien de ce qu'on pense de la Natural Trance comme ont l'a inventé. C'est vraiment 100 % live, on ne joue pas par-dessus un ordinateur car pour nous ce n'est pas de la Natural Trance. Ce qui est de la Natural Trance, c'est comme Pink Floyd : un batteur, un bassiste, des guitares oÀƒÂ¹ ce que tu veux en fait tant que ce sont des instruments joués en live. Tu ne joues pas par-dessus une bande son. C'est un style qu'il a fallu étudier, le travailler de la même manière qu'il y a eu pour le Jazz, le Rock n'Roll, le DubÀ¢Â€Â¦  Il a fallu comprendre comment il fonctionne et tout les rouages de la Natural Trance pour pouvoir faire danser les gens. C'est un style qui a vraiment trouvé toutes ces règles aujourd'hui.

 

La question de l'abonné (clement_.cdr) : Quel est le meilleur public que vous avez rencontré parmi tous les endroits dans lesquels vous avez pu jouer ?


        Il n'y a pas un meilleur public ou pays. A chaque concert tu ne sais jamais à quoi t'attendre et c'est incroyable. Comparé ça a une nouvelle copine ou un nouveau copain que tu vas avoir, tu ne sais jamais à quoi t'attendre. Des fois il y a de la magie qui se passe et ce n'est pas en fonction du plus beau, du plus cool des fois, ça se passe comme ça d'un seul coup. Il ne faut jamais se faire de projection car tu ne sais jamais à quoi t'attendre. Attends toi plutôt à rien et tu ne seras pas déçu et puis souvent il y a des surprises. Cela étant dis, on a passé beaucoup de temps dans certains pays notamment en Inde, en Espagne, un peu au Brésil , au Japon et c'est des pays qu'on adore. Cependant le concert le plus puissant qu'on est vécu tous ensemble que ce soit le groupe ou le public c'est le Boom Festival en 2018, oÀƒÂ¹ il y avait l'éclipse de Lune avec 40 000 personnes du monde entier, il y a vraiment eu un côté pinacle qu'on n'oubliera jamais mais comme a dit Greg on ne sait jamais à quoi s'attendre .

Avez vous un dernier mot à dire nos abonnés ?

 

        Merci infiniment pour le soutien, ça nous fait chaud au cÅ“ur de partager avec vous toutes ces années et ces albums. On sent vraiment que vous comprenez ce message qui est un message d'unité planétaire. Les gens qui viennent ont cette vibe de paix qu'on voit dans leurs yeux. Ca se ressent dans le concert oÀƒÂ¹ les gens respectent la planète et se respectent entre eux. On sent que notre public année après année nous soutien et est vraiment affÀƒÂ»té là-dessus. Ensemble, nous et avec eux, on fait un beau travail. Merci !

Hilight Tribe

Un grand merci à Greg et Ludo d'Hilight Tribe pour cet échange passionnant et à Pléiade Production pour l'invitation à ce concert historique à l'Olympia. On vous invite bien évidemment à suivre Hilight Tribe sur Facebook et Instagram pour ne pas manquer leurs prochaines dates et albums.

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Anthony


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