Mainstage - Tomorrowland Around The World 2021
Après l’édition virtuelle de l’an dernier et celle du nouvel an, Tomorrowland nous a une nouvelle fois proposé une édition entièrement virtuelle le 17 et 18 juillet 2021. Ce récap sera décomposé en 3 parties : les scènes, les sets et la conclusion.
Les Scènes
Pour cette deuxième édition, le festival était de retour sur l’ile magique de PÄÂpiliÅÂnem durant 2 jours. Cette année, le fabuleux thème The Amicorum Spectaculum était de retour pour un deuxième chapitre très prometteur. Sur ces 2 jours, ce ne sont pas moins de 7 scènes qui nous ont été présentées dont 2 inédites et 3 redesignées.
Commençons par la plus petite des scènes qui n’est autre que le fameux Moose Bar. Les personnes ayant visité Tomorrowland en 2019 ont surement un tas d’anecdote à raconter à propose du Moose Bar et c’est donc avec joie que nous découvrons cet ajout de dernière minute. En effet, le Moose Bar n’était pas prévu sur la line-up initiale. Pour ceux qui ne la connaisse pas, cette scène propose une ambiance façon Oktoberfest dans la pure tradition allemande. Danseuse avec jupe à carreaux, chope de bière, lumière disco dans tous les sens, À¢Â€Â¦. Au niveau de la musique, vous y retrouverez de tout, du Kitsch, de la Hardmusic, de la Big room, À¢Â€Â¦ mais toujours avec des sonorités de musique bavaroise. Le chalet niché en plein cÅ“ur des montagnes de PÄÂpiliÅÂnem nous a proposé 3 shows différents diffusés en continu durant la journée du samedi.
La scène suivante est la Cave. Déjà présente l’an passé, la cave a été entièrement redesignée pour cette édition sur le thème du cirque. Cette scène accueillait le label Monstercat (habituellement détendeur de la scène Rose Garden à Boom) pour la journée du samedi. C’est donc une succession d’artistes Dubstep, Drum & Bass et même hardstyle (oui, oui, Darren Styles jouait sur la scène Monstercat).
Pour cette cave 2.0, Tomorrowland nous a plongé dans un gouffre au milieu de la roche. La particularité de cette scène se situe dans son light show puisqu’il n’y en a tout simplement pas. Un peu décevant de la part de Tomorrowland de se contenter de projeter quelques formes colorées sur le public et les parois de la caverne. Il faut également préciser que des FX (flammes et CO2) étaient dispersés tout autour du DJ Booth. Quelques fusées pyrotechniques ont également fait leur apparition. Nous apprécions grandement les améliorations appliquées à cette scène. La forme de cette nouvelle cave est vraiment mieux et nous avons moins l’impression d’être oppressé dans une grotte exigüe. Autre changement que l’on aime beaucoup, la disparition de toutes les particules en suspension dans l’air et la disparition des rochers qui volaient. Encore un petit effort pour le light show et elle sera parfaite !
La scène qui arrive est une des scènes majeures du festival en Belgique. Hostée par Q-Dance le samedi, la scène The Wall est parfaitement identique à l’an dernier. La scène en forme de U géant s’est vu attribuer la crème de la crème de la Hardmusic avec la présence surprenante de Angerfist en closing. La scène est équipée d’un écran LED gigantesque tout autour de la structure en U faisant penser au Parthénon d’Athènes. Cette impression est d’autant plus renforcée que la scène est située sur un sommet avec un chemin d’accès en lacet. Pour en revenir à la scène, de nombreuses lyres et des stroboscopes constituent la partie majeure du show impressionnant que nous livre cette scène. Des lasers en nombre venaient renforcer le show de cette scène mais la partie la plus impressionnante est sans aucun doute les lances flammes positionnés massivement à l’horizontal sur tout le contour du U. N’oublions pas non plus le CO2 et les nombreux feux d’artifices tirés au dessus de la scène. On regrette tout de même le manque de décoration et de stylisation de la scène selon les codes de Q-Dance. Le réalisme est juste impressionnant au point d’aller jusqu'à intégrer un mini frigo Red Bull dans le décor, à faire bouger les têtes de lyres une par une et même à recréer l’effet de LED RGB lors des plans rapprochés sur l’écran.
Partons maintenant à la découverte de la scène Core. ÀƒÂ‰galement présente lors de l’édition de l’an dernier, elle à reçu quelques amélioration de l’an dernier. Présente au parc De Schorre habituellement, elle conserve tout son charme en virtuel.
Plantée en plein milieu d’une forêt, cette scène représente un visage prenant racine. Elle accueille des pointures de la techno comme Amelie Lens ou Enrico Sangiuliano. Le light show confectionné par Tomorrowland est comme à son habitude sublime ! Les améliorations concernent principalement le lieu environnant oÀƒÂ¹ se trouve la scène. En effet les équipes de Tomorrowland se sont attelés à reproduire le lieu exact de la scène Core à Boom. On reconnait la forme de l’emplacement dédié à cette scène, l’accès par le chemin à travers la forêt, les guirlandes ambiance guinguette, À¢Â€Â¦ Autre amélioration, l’ajout de lyre autour de la fosse et la suppression du mouvement des "ailes" de la scène. Là encore, beaucoup de réalisme et de détail sur cette scène qui semble disposer pour remplacer l’actuelle Core en Belgique.
On continue avec la techno avec une nouvelle scène présente en Belgique, la Atmosphere. La célèbre tente de Tomorrowland au design très particulier est de retour pour la deuxième édition de Around The World. Là aussi de belles évolutions par rapport à l’an passé et qui laisse penser à de belles choses pour 2022. Célèbres pour son plafond recouvert de milliers de LED, la Atmosphere envoie des light show impressionnant, unique et dont seul Tomorrowland à le secret. Pour cette édition 2021, la Atmosphere revient avec un light show encore plus massif et c’est juste bluffant. Finit les lyres à 360À‚° au niveau des festivaliers. C’est désormais écran transparent massif derrière le DJ Booth laissant apparaitre des dizaines de lyres, large bande d’écran LED à 360À‚°, plafond recouvert de guirlande LED, de Lyres , de lasers et de stroboscope. L’objectif ? Vous en mettre plein la vue ! On ne sais pas si physiquement une telle scénographie est réalisable puisqu’on imagine bien qu’il faudrait de grosse structure au sein de la tente pour soutenir toutes ces lumières. On serait bien évidement ravit de voir ca à Boom. Petit point négatif tout de même pour les cercles de lumières qui se promenait au milieu de la tente.
Passons maintenant à l’Elixir Club. Cette scène est totalement inédite puisque c’est la première fois qu’elle apparait en virtuel. Ce magnifique opéra nous a replongés dans l’ambiance du nouvel an avec son architecture similaire à celle de Melodia lors de l’édition digitale du nouvel an. Le show laser était exceptionnel avec un light show poussé très agréable à l’Å“il. Sa line-up proposait 2 ambiances : techno le vendredi et progressive house le samedi. L’Elixir Club présentait une grande profondeur derrière le DJ laissant apparaitre une statue au fond d’une rangée de colonne. Là aussi beaucoup de détail et de réalisme pour cette grosse scène indoor qui ne devrait pas apparaitre à Boom vu sa configuration.
Dernière scène de cette édition virtuelle : la Mainstage. Accrochez-vous car elle envois ! Par oÀƒÂ¹ commencer ? Démarrons par le lieux. La mainstage se situe cette année en plein milieu d’une ville, dans un grand parc rempli de fontaine et d’espace vert. La fosse est quand à elle entourée de bâtiment rappelant le palais des tuileries à Paris. Au milieu de cette fosse traverse un cours d’eau surmonté de gigantesque jet d’eau et de pont pour laisser passer le public. D’autres élément de décor sont dispersés dans la foule comme des écrans projetant en live le DJ, des tours avec de nombreuses lyres et FX, un bateau faisant des bulles, À¢Â€Â¦. A première vue, la Mainstage semble plutôt petite mais lorsque les plans se rapprochent on se rend alors compte de sa splendeur.
Pour rappel, le thème est Amicorum Spectaculum, chapitre 2. On a donc le droit à une magnifique scène en forme de chapiteau d’époque incrusté de nombreux détails. C’est vraiment impressionnant le réalisme que Tomorrowland a réussi à nous faire cette année ! De part et d’autre de cette mainstage on retrouve des grandes roues, des trapézistes, une roue de la mort, des cracheurs de feu, des funambules et plein de performers perchés au bout de leur perche au milieu de la foule. La scène est aussi réaliste et impressionnante qu’une mainstage d’une édition physique. On se prend facilement au jeu de chercher et de contempler tous les petits détails glissés par ci par là. Les lumières sont sublimes, les lasers sont présent à foison, les FX sont présents à tout instant et les jets d’eau sont incroyablement bien modéliser. Que dire de plus à part que cette Mainstage nous aura laissé bouche bée durant les 2 jours et qu’on aura eu du mal à en partir tant elle est belle. Vraiment un très grand bravo aux équipes de Tomorrowland pour nous avoir bluffé avec cette scène incroyable. On se souvient encore de notre petite déception l’an passé en découvrant la mainstage qui n’était pas de très bonne qualité à notre goÀƒÂ»t comparé aux autres scènes que le festival proposait.
Pour clôturer ce chapitre sur les scènes, parlons un peu des scénographies. Ce paragraphe s’appliquent à toutes les scènes puisqu’elles ont toutes reçu ces améliorations. Tout d’abord les lyres. Juste WOW ! Leurs améliorations par rapport à l’an passé permet de recréer le rendu qu’auraient ces mêmes scènes en Belgique. C’est juste impressionnant. Ensuite les lasers ont également évolués. Alors que l’an passé ils étaient tout simplement horrible, les équipes ont travaillé dessus pour proposer une première amélioration lors de l’event du nouvel an. Ils étaient bien mieux mais avait un rendu haché et pixélisé. Cette fois c’est la bonne avec un sublime rendu. Il reste tout de fois quelques bug oÀƒÂ¹ les lasers traversent les scènes et apparaissent flou lorsqu’il y en a beaucoup en même temps comme sur la Mainstage ou le Elixir Club. Ca ne doit tout de même pas être simple à gérer graphiquement lorsqu’il y a autant d’entité à gérer.
Autre amélioration notable, celle du CO2. Cette fois nous avons un excellent rendu du C02 même si la forme de certains canons sur la Mainstage sont un peu bizarre et éloigné de la réalité. Bien évidement ce sont des détails et des points mineurs face à l’aspect global de ce festival qui, on le rappel, est juste impressionnant visuellement parlant. Pour finir on va vous faire part de nos déceptions concernant les flammes et les feux d’artifices. Les flammes nous déçoivent puisqu’elles sont relativement éloignées de la réalité. Les nombreux lives de DJ sur Twitch durant cette période nous ont montrés que des flammes bien plus réalistes étaient possibles. Ce sont les mêmes flammes que l’an passé et nous trouvons dommage que Tomorrowland n’est pas travaillé dessus. Le dernier point ce sont les feux d’artifices.
Alors que certains feux d’artifices sont justes incroyables et très réalistes avec les effets de fumée qu’ils laissent dans le ciel, certains sont très décevant. En effet, certains ressemblaient plus à des boules colorées dans le ciel qu’a des étincelles et cela fait très artificiel. De plus la couleur de certains comme le bleu ne sont pas du tout naturel. Certains semblait même flou voir même dédoublé. Dommage que Tomorrowland ait régressé sur ce point par rapport au nouvel an même si ca a permis d’amener des évolutions ailleurs.
Les Sets
Chaque artiste à proposé un set de haute qualité que ce soit les têtes d’affiche comme les moins connus. Tous nous ont proposés de nouveaux sets et non du réchauffé de d’autres event ou des années précédentes. Pour vous le prouver c’est très simple : sur les 955 tracks jouées sur le weekend (ce qui représente 39 heures de musique), 119 étaient des ID, c'est-à-dire des tracks encore jamais jouées ni publiées auparavant. La track la plus jouée est d’ailleurs Love Tonight de SHOUSE, sortie en 2017. Pas mal d’artiste se sont d’ailleurs amusé à remixer ce titre dans pleins de style différents. On vous laisse juger de votre version préférée. Comme pour le récap de Defqon.1 at Home, on va vous faire notre TOP 10 de nos sets préférés de ce weekend.
10 - A la dernière place de notre top 10, on retrouve Michael More sur la Moose Bar. Comment ne pas citer un set de la Moose bar dans ce top au fond de la joie et de l’envie de faire la fête que nous procure cette scène ? On a choisit Michael More tout simplement car il a joué beaucoup de classique de la musique électronique tout en les remixant pour qu’ils conviennent parfaitement à l’ambiance de cette scène qu’on apprécie tant.
9 - Notre neuvième place est destinée à Afrojack. Son set qui à eu lieu le samedi soir su la Mainstage nous à permis d’apprécier la house qu’il réalise sous son alias Kapuchon mélangé à des reprises de ses titres les plus connus comme Turn Up the Speaker ou encore No Beef. Un vrai régal pour tous ceux qui apprécie la big room des années 2014/2015. Un bon set avec pas mal de nouveauté puisque un tiers des tracks étaient des ID’s
8 - Gammer nous à livré un très gros set dubstep. Ce fut une des plus grosse prestation du weekend avec près de 40 tracks différentes enchainés en 45min. Autant dire qu’il n’y a pas eu beaucoup de temps de repos. Nous regrettons tout de même de ne pas avoir eu un petit The Drop non remixé dans toutes ces tracks. Ca n’en reste pas moins un excellent set pour les amateurs de BassMusic
7 - A la septième place on retrouve Tale of Us. Pas particulièrement fan de leur musique, nous avons grandement apprécié le show et les light durant ce set. Outre le show visuel, le duo nous à offert une véritable performance avec un taux d’ID proche des 50%. La encore beaucoup de nouveauté et on voit que la période à profiter aux artistes pour faire de la production.
6 - Pour la moitié de ce top, on va partir du côté de la scène Q-Dance pour l’excellent set de KELTEK. Grosse surprise sur ce set oÀƒÂ¹ l’on s’attendait à avoir le même set que d’habitude avec toujours les mêmes tracks mais il en est tout autre. Même si quelques tracks inévitable étaient toujours présentes comme Oblivion ou Dark Sun, il a su composer avec ses dernières sorties dont sa collab avec Devin Wild Creatures et son anthem de Qlimax The Source. En plus de tout ca, il nous a sorti un très bon remix de Sky and Sand de Paul Kalkbrenner et son frère Fritz ainsi que l’excellent remix de Angels et Demon de DBSTF sortie récemment pour le nouvel album de ces derniers ! Un set très intéressant de la part de KELTEK.
5 - Amelie Lens nous a fournit un gros set techno comme a son habitude. La scène Core colle en plus parfaitement à son univers et à sa personnalité. Avec un tiers de son set composé d’ID, ca en a fait un des sets majeurs et immanquables pour tous les amateurs à la recherche de nouveauté. C’est une pluie de gros kick techno qui à envahit notre salon, pour notre plus grand bonheur. Naviguant entre les 140/150 bpm, le set n’est pas à la portée de tous mais lorsqu’on apprécie c’est une véritable partie de plaisir.
4 - Au pied du podium, Nicky Romero aura su nous faire plaisir avec un début de set tout en douceur sur de la house avant d’enchainer avec des tracks Progressive House comme il le fait habituellement. Durant ce set on notera 2 ID qui ont l’air bien sympa. Petit bémol tout de même sur le début du set composé notamment de The Business de Tiestö ou encore de Love Tonight de Shouse. Des tracks omniprésentes sur tous les sets actuels et qui font perdre de leur charme un peu à l’instar de Losing It de Fisher en 2019. Mis à part ca on est ravi de retrouver des tracks ultra récente comme le remix de Nicky Romero de Hero ou encore Impossible de David Guetta et Morten. Comme à son habitude, Nicky Romero nous à proposé un sublime hommage à Avicii avec un mashup de leur collab I Could Be the One et de Mistaken de Martin Garrix. On sais à quel point Nicky Romero était proche de Avicii et ses hommages sont à chaque fois très émouvant.
3 - Pour la dernière marche du podium on a choisit HI-LO pour la simple et bonne raison qu’il nous a régalé les oreilles avec son set techno. Plus connus sous le nom de Oliver Heldens comme étant le fondateur de la Future House, son alias techno est pour nous, entièrement validé. Sa techno est puissante et envoutante, à tel point que c’est un véritable coup de cÅ“ur dans l’équipe alors même que nous ne sommes pas de gros amateur de techno.
2 - Désormais bien connus de la scène Hardstyle, les frères jumeaux Joren et Martijn alias Sound Rush. Au fil des années, leur popularité a drastiquement augmenté pour être désormais connus comme des démocratisateurs de la Hardmusic. C’est donc un set plutôt mainstream qu’ils nous ont proposés avec à la fois leurs dernières tracks dévoilées lors des 4 épisodes de "The Great Escape" et leurs plus grand classiques comme leur remix de Turn itUp ou encore One. Leurs nouvelles tracks sont d’ailleurs sublimes tant au niveau des mélodies que de la construction. On à particulièrement aimé leur fin de set sur du Rawstyle avec leur dernières collab avec Atmozfears : Come Back Home. C’est donc la deuxième place du podium pour ce set avec beaucoup de renouveau et dont la sensation de déjà vu n’était clairement pas présente.
1 - Le meilleur set à nos yeux est de loin celui de Armin Van Buuren. A chacune de ses apparitions virtuelles depuis maintenant 1 an, Armin Van Buuren nous livre des sets exceptionnels et à chaque fois tous différents les uns des autres. Pour cette nouvelle édition de Tomorrowland Around The World sur le thème du cirque, Armin Van Buuren à continué sur cette lancé avec un énorme set. Bien évidement ses classique étaient présents mais il nous à également confectionné de nombreux mashup et remix. Nous sommes fan de son intro commençant par un gros remix de Sirius de The Alan Parsons Project. Le ton est donné et les tracks s’enchaine sur des rythmes de trance et même psytrance pour finir sur une excellente ID finissant en Psyhard. Juste incroyable ! On souligne au passage que c’est son set qui nous à le plus ambiancé. Chapeau l’artiste !
C’est encore une fois une énorme édition que nous a offert Tomorrowland avec une line-up de près de 47 artistes. On ne peux bien évidement pas positionner tous les artistes dans notre top mais ils faut souligner les très belles prestations de Vini Vici avec un set inédit bien loin de se que l’on peu entendre d’habitude, le très beau versus entre Da Tweekaz et Ran-D qui nous a plutôt impressionné par la fusion des 2 styles exécutée à la perfection ou encore le set de Koven qui est notre découverte de cette édition et dont on devrait se rappeler tant le set était bon. Pour vous faire une idée de ce à quoi ressemblait cette édition, on vous laisse regarder le set de Claptone et de Vintage Culture.
Conclusion
Cette nouvelle édition de Tomorrowland Around The World aura tenu toutes ses promesses. Tout d’abord, félicitations aux équipes de Tomorrowland pour ce travail monumental et pour avoir tenu compte des remarques de l’an passé afin d’améliorer leur concept de festival digital. On le répète mais les light shows étaient absolument incroyable ! Bien évidement nous avons relevé quelques points à améliorer même s’il faut bien comprendre que l’on touche à l’excellence. Parmi ces points à améliorer, on notera certains FX à améliorer mais aussi le concept que Tomorrowland pourrais pousser encore plus à l’extrême en proposant une expériences en VR ou en laissant la possibilité au visiteur de se déplacer sur la map en incarnant un festivalier, un peu comme dans un jeux vidéo. Nous avons quand même été déçus par le vendredi qui ne proposait que 2 scènes sur les 7 le lendemain. Bien dommage de ne pas avoir exploité les scènes à fond. Idem pour le samedi ou la majorité des scènes n’était ouverte que quelques heures. On notera également l’absence de nombreux habitués qui ont fait la réputation de Tomorrowland comme Dimitri Vegas & Like Mike, David Guetta (qui ne pourras plus se vanter d’avoir fait toutes les éditions de Tomorrowland d’ailleurs) ,Martin Garrix ou encore Netsky pour ne citer qu’eux.
Cependant, pour le prix de 25euros (soit le prix de 2 séances de cinéma), vous avez accès au live pendant 2 jours puis à 2 semaines de replay et vu le travail et la qualité de l’événement, nous en avons largement pour notre argent. Nous avons en plus opté pour des Peoples of Tomorrow Package. Là encore grande surprise concernant la qualité du pack composé d’un poster, de 2 bracelets, de 2 LED cup, 1 sticker et d’une canette de Red Bull. Déjà détendeur des packs de l’édition de l’an passée et de l’édition du nouvel an, nous avons une nouvelle fois été surpris par la beauté des bracelets et du poster.
On espère donc que Tomorrowland continuera ce concept de festival virtuel une fois par an avec toujours plus de réalisme.
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